Doigt du membre antérieur du cheval, façon de tenir et d’uliser les rênes ou côté du manège (prendre la piste à la main gauche.

Main agissant avec force, à contre-temps, sans nuances, dépourvue de tact, incapable de céder. Elle provient le plus souvent d’une absence de décontraction, d’un manque d’équilibre et d’une mauvaise attitude générale du cavalier. Elle est nuisible à la santé morale et physique du cheval!

Est savante la main qui, instruite par l’expérience, douée de tact et de sensibilité, agit toujours avec justesse, au moment opportun, avec le dosage nécessaire tout en sachant se faire oublier lorsque le cheval, se portant de lui-même dans l’exercice demandé, est en parfait équilibre. (voir Descente de main)

Instructeur d’équitation.

Se dit d’un cheval quand il avance trop les naseaux ou quand il a la tête trop serrée contre le poitrail.

Installation, couverte, organisée pour la pratique de l’équitation ou ensemble des exercices de dressage du cheval.

Dresser un cheval aux différents airs de manège.

Se dit du cheval qui se soumet aux aides du cavalier, ou du cavalier qui soumet son cheval à l’action de ses aides.

Faux pas d’un cheval.

Marchand de chevaux, terme souvent utilisé dans un sens péjoratif, sous entendant une tromperie.

Se dit d’un cheval quand il a des applombs réguliers, une certaine perfection dans les allures et qu’il marche droit et juste sur une piste simple.

Figure de manège: après une courbe, prendre la piste le long du grand coté.

Terme de manège. Suivre exactement la piste le long de la paroi du manège.

Désignation courante du maréchal ferrant, artisan qui ferre les chevaux.

Poils blancs apparaissant sur le tête du cheval qui vieillit.

Action de marquer les chevaux aux fins de les identifier, en général sur la croupe ou les sabots.

Taches rougeâtres sur une robe plus foncée.

Enrênement lilitant l’extension de la tête.

Partie du dressage destinée à inculquer au trotteur un trot régulier aux grandes allures.

Entorse siègeant principalement au niveau du boulet.

Conduite des attelages.

Conduire un cheval non monté en le tenant à la main.

Harnacher un cheval.

Se dit d’un cheval correctement éqduqué.

Soumission du cheval aux aides manuelles du cavalier.

Solliciter, activer et rendre réactive une partie du corps du cheval (mobiliser la croupe) ou l’ensemble du cheval (mobilisation) .

Est mobile le cheval qui parfaitement en équilibre, peut répondre avec impulsion, relaxation et vivacité à la moindre sollicitation de son cavalier.

Se dit d’un cheval qui n’a pas qu’un seul testicule apparent.

Accouplement.

Accouplement non dirigé qui se produit alors que la jument et le mâle sont en liberté.

Accouplement dirigé par un étalonnier qui conduit le mâle.

Monter sans selle, à même le dos du cheval.

Mise en selle. Le côté du montoir est celui qui se situe à la gauche du cheval, par lequel on monte en selle.

Embouchure permettant la conduite du cheval.

Embouchure à levier composé d’un canon avec ou sans passage de langue, avec des branches inférieures plus ou moins longues et chaînette appelée gourmette.