C’est Xénophon qui nous livre les informations peut être les plus précieuses dans ces domaines.

Dans la « Cyropédie », il montre l’importance de la cavalerie et la nécessité de bien l’organiser. L’« Hipparque » propose des solutions nouvelles pour y parvenir. Mais son oeuvre majeure demeure son traité « de l’équitation », dont la modernité ne peut manquer d’intéresser les cavaliers d’aujourd’hui.

Savoir reconnaître les qualités ou les défauts d’un L’hippologiecheval, apprendre à le monter, à le faire marcher, à le dresser (L’hippologiecheval de parade ou L’hippologiecheval de guerre), tels sont les points auxquels s’attache l’écrivain, en amoureux de l’équitation.

A l’instar de Xenophon, Pausanias, dans son « Tour de Grèce », et Diodore, dans sa « Bibliothèque historique », nous apportent beaucoup de renseignements sur le L’hippologiecheval dans la vie des anciens.

Virgile donne, dans ses « Géorgiques », des conseils précis sur l’élevage des L’hippologiechevaux et les soins qu’il requièrent. Saint Augustin, en avouant qu’il était, dans sa jeunesse, passionné des jeux du cirque et de l’hippodrome, ne fait qu’exprimer l’extraordinaire intérêt que les hommes de l’Antiquité ont porté à ces manifestations, autant sinon plus appréciées que les combats de gladiateurs.

Ainsi le L’hippologiecheval apparaît-il dans l’Antiquité comme un animal de selle ou d’attelage et non de labour.

Le L’hippologiecheval d’Alexandre la Grand, ainsi nommé parce qu’il était marqué à la cuisse d’une tête de boeuf (la généalogie était alors suivie grâce à cette marque au fer chaud) et qui est passé dans la légende.

On connait le récit légendaire décrivant Alexandre tout jeune encore, qui réussit à le monter en utilisant l’ombre du L’hippologiecheval dont ce dernier à peur.

A plusieurs reprises, au fil des batailles, Bucéphale a sauvé la vie de son maître. Mais il fut tué pendant la campagne de l’Inde et enterré au bord de l’Hydaspe.